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    Heath Ledger est mort d'une intoxication médicamenteuse

    L'acteur australien Heath Ledger (photo), retrouvé mort dans son appartement new-yorkais il y a deux semaines, est décédé d'une intoxication médicamenteuse, ont annoncé hier, mercredi 6 février, les autorités locales. «Heath Ledger est mort d'une intoxication aiguë due aux effets combinés» de six médicaments, a indiqué Charles Hirsch, le responsable de l'équipe de médecins légistes, dans un communiqué. «Nous avons conclu que les circonstances de la mort relevaient de l'accident», a-t-il ajouté. Des premiers résultats n'avaient pas permis tout d'abord de déterminer les causes de sa mort, mais sa famille avait déclaré ne pas croire à l'hypothèse d'un suicide.

    Photo: DR. Copyright tetu.com par Quotidien/AFP
    Info du 2008-02-07


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  • L'obsession de Cécilia

    NOUVELOBS.COM | 06.02.2008 | 12:40

    "Si tu reviens, j'annule tout'. Voilà le contenu d'un SMS que le chef de l'Etat aurait envoyé à son ex-épouse huit jours avant son mariage.

    QUELLE est la part de vengeance et de provocation vis-à-vis de Cécilia dans l'attitude de Nicolas Sarkozy ces dernières semaines et jusqu'à son mariage, samedi dernier ? La bague identique offerte à ses ancienne et actuelle épouses, le voyage à Petra, en Jordanie, là où Cécilia était pour la première fois partie avec le publicitaire Richard Attias, le choix comme témoin de son mariage avec Carla de Mathilde Agostinelli, directrice de la communication de Prada, longtemps amie intime de Cécilia, étaient autant de signes évidents : qu'elle prenne le visage de l'amour ou de la haine, la véritable obsession de Nicolas Sarkozy a été et reste Cécilia Sarkozy, dont le mariage avec Richard Attias est attendu le mois prochain.
    On en a maintenant une nouvelle confirmation. Huit jours avant son mariage, le président de la République a adressé un SMS à son ex épouse, en forme d'ultimatum : "Si tu reviens, lui a-t-il écrit, j'annule tout". Il n'a pas eu de réponse.
    Pendant son mariage, le chef de l'Etat est apparu à plusieurs témoins moins heureux qu'on aurait pu l'imaginer. Il était même particulièrement tendu lorsque Catherine Pégard, à l'issue de la cérémonie, lui a soumis un communiqué. Il l'a renvoyé dans les cordes : "Pas besoin de communiqué, tous ces cons, j'en ai rien à foutre" lui a-t-il lancé.
    Aujourd'hui, l'entourage de Sarkozy voudrait lui déconseiller d'emmener Carla avec lui en Guyane, là où avaient été médiatisées ses retrouvailles provisoires avec Cécilia, mais personne n'ose le lui dire de front. "Sur ces sujets, il est dans sa bulle, il n'écoute pas, dit un proche. Pire, il ne veut rien entendre". AR
     
    Coïncidence ?

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  • Prisons pour mineurs: série noire et polémique

    Par Chloé Leprince (Rue89)    Info du 05/02/2008

    Suicide d'un détenu à Lyon, évasions à Marseille, bronca des éducateurs à Nantes: les centres créés par Rachida Dati font débat.

    Samedi, un détenu de 16 ans incarcéré depuis le 17 décembre, s'est suicidé à la prison pour mineurs de Meyzieu (Rhône). Il se serait pendu dans sa cellule à une bouche d'aération. C'est le premier suicide d'un jeune dans l'un des Etablissements pénitentaires pour mineurs (EPM), lancés en juin 2007 par Rachida Dati.

    Mauvaise nouvelle pour l'administration pénitentiaire: ce décès s'est doublé, en moins de quarante-huit heures, de deux évasions réussies à l'EPM de Marseille.

    C'est dans ce contexte que le cinquième établissement du genre ouvrait ses portes ce mardi matin, en Loire-Atlantique. Mais depuis quelques jours, l'inauguration de la prison pour mineurs d'Orvault, près de Nantes, fait des vagues. Une pétition a commencé à circuler fin janvier, intitulée "La place des enfants n'est pas en prison, Nous ne travaillerons pas en EPM!". Signé par près de 150 éducateurs, dont beaucoup sont originaires des Pays-de-Loire, ce manifeste dénonce la détention pour les moins de 18 ans, une sanction jugée "criminogène".

    Coordinateur de la mobilisation et lui-même conseiller d'éducation dans le secondaire, Philippe Dubacq explique que l'opération a pour but de "refuser publiquement la logique de l'enfermement, et créer un débat dans les professions concernées par ce thème". Pour l'instant, le personnel du nouvel EPM a été recruté sur la base du volontariat.

    Inauguré la semaine dernière, l'établissement d'Orvault devait accueillir ce mardi ses premiers jeunes. Cinquième du genre depuis la création des EPM en juin 2007, la structure est destinée à un maximum de soixante mineurs entre 13 et 18 ans. Du côté du gouvernement, on valorise depuis leur lancement la dimension éducative de ces prisons ciblées. Sachant qu'au 1er juin 2007, le ministère avançait le chiffre de 784 mineurs détenus en France. C'est-à-dire 1,2% de la population carcérale.

    Fracture entre deux générations d'éducateurs

    Signataire de la pétition des Pays-de-Loire, Claude Théodore travaille à la PJJ (la protection judiciaire de la jeunesse) depuis 1979. Syndicaliste SNPES-FSU dans les Hautes-Pyrénées, elle s'était déjà opposée à l'ouverture des deux premiers EPM, en juin 2007. Dont celui de Meyzieu, près de Lyon, où le jeune de 16 ans a été retrouvé mort le week-end dernier.

    Claude Théodore dénonce la fracture apparue au sein de sa profession avec cette nouvelle génération d'établissements. Pour cette syndicaliste, qui dit avoir "très peu de retours sur ce qui se passe vraiment dans les EPM", les éducateurs sont en effet en train de se déchirer entre, d'un côté, ceux qui acceptent d'aller travailler en EPM et ceux qui s'y refusent, à l'instar des pétitionnaires de Loire-Atlantique:

    "A la sortie de la formation, on fait miroiter aux éducateurs fraîchement diplômés des postes à pourvoir et des primes. Ils trouvent du travail car notre génération refuse d'y aller. Mais l'histoire ne va pas dans le bon sens: quand j'ai démarré ma carrière, en 1979, nous militions précisément pour la fermeture des grosses structures d'éducation surveillée, où l'on enfermait les mineurs.

    "On revient en arrière, et, à force de faire du "tout pénal", il commence à y avoir une confusion dans la tête des jeunes entre ce qu'est un éducateur et ce qu'est un surveillant de prison."

    "Ce n'est pas en occupant un jeune non stop qu'on va le faire réfléchir"

    Pour Claude Théodore, qui doute qu'on puisse vraiment "faire de l'éducatif en prison", le nouveau dispositif peut même se révéler contre-productif. Elle qui travaille en milieu ouvert à Tarbes a déjà suivi, ces derniers mois, dans le cadre de son service, "deux ou trois jeunes" à leur sortie de l'EPM de Lavaur;

    "Franchement, quand on les écoute, on se demande parfois si ce n'est pas mieux que la colonie de vacances! Ce n'est pas en occupant un jeune non stop, du lever au coucher, qu'on va le faire réfléchir sur son acte. Il faut un temps de pause pour qu'il puisse prendre conscience."

    Cette critique d'une vie collective permanente, y compris pendant les repas, prend à rebrousse-poil le discours du gouvernement, qui vante des jeunes pris en charge "quatorze heures par jour". Pour Claude Théodore, l'EPM de Meyzieu, dans le Rhône, était devenu "une vraie cocotte-minute". Dès les premiers mois, les éducateurs dénonçaient une "suractivité" et les "journées interminables" pour les jeunes détenus.

    Comme d'autres, la syndicaliste de la PJJ de Tarbes souligne par ailleurs que la mixité de ces établissements peut poser problème. A l'inauguration des premiers centres, en juin 2007, le ministère de la Justice avait fait savoir que "quatre à six places" seraient réservées aux filles dans chaque établissement.

    Image : Etablissement de Lavaur. Photo qui me rappelle ceci :

    Mais biensûr : ça ne sera pas aussi horrible!
    (Auswitch, camp nazi)


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  • ALLO ? LES CAISSES SONT VIDES !!! Réveillez-vous les gars !
    Bravo France 3 Lorraine... A quand une telle chose sur le hertzien nationnal.

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  • Pour les français, c'est sans image !

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